D2.1
Le 15 avril 2021, le Conseil communautaire a voté les amendements proposés.
Les modifications, ajouts ou suppressions, sont renseignés ou rayés en couleur orange dans l’ensemble du plan d’actions (tableaux de bord, fiches actions).
Gouvernance
Pilote : CA Grand Cognac
Partenaires :: Collectivités, association vélo d’vie, autres associations, Département 16, ADEME, l’Espace Citoyen
Moyens
1 élu référent
Aide financière de l’ADEME
Partenaires du territoire
Indicateurs
Lancement de l’étude
Km de voie piétonne et cyclable
Évolution de la part modale du vélo
Gain énergétique
Intégré à l’action D.1.2
Gain carbone
Intégré à l’action D.1.2
Impact
- Adaptation 66%
- Atténuation 100%
- Qualité de l’air 100%
La question de la continuité entre les communes, les territoires, invite à dissocier chemin doux, de chemin express. .
Le chemin doux correspond plus particulièrement à la promenade, au tourisme. .
Le chemin express quant à lui cherche à relier les lieux d’habitation aux zones d’activités donc d’emplois, et de commerces. Ce dernier point est à mettre en relation avec le D12 (anticiper au niveau communal le schéma local).
La sécurité revient dans quasi tous les questionnaires..
Aujourd’hui la route telle qu’elle est « partagée » représente un réel danger. Et de fait, représente un frein à l’utilisation du vélo. Cette question est clairement remontée des usagers.
Le 15 avril 2021, le Conseil communautaire a voté les amendements proposés.
Les modifications, ajouts ou suppressions, sont renseignés ou rayés en couleur orange dans l’ensemble du plan d’actions (tableaux de bord, fiches actions).
Analyse des sous-actions
Identifier une équipe de travail au sein de la CA,
Identifier les enjeux de la démarche,
Mobiliser les partenaires et établir une feuille de route.
Diagnostic et état des lieux,
Proposition de scénario,
Établissement du schéma cyclable territorial / règlement d’intervention,
Établissement d’un plan pluriannuel d’investissement pour soutenir les projets des communes et/ou du département.
Une séparation physique des pistes (voiture et cycle) par une bande herbeuse pourrait être une bonne solution. Cela représenterait un double avantage : un danger écarté , un entretien moins coûteux et plus aisé qu’une bande arbustive. L’idée avancée de proposer des vélos en entrée de ville est également à retenir ; mais celle-ci devant arriver dans un second temps. C’est-à-dire une fois la sécurisation des pistes cyclables réalisée. Autre point plusieurs fois remonté et appuyé, la consultation, la participation. Il apparaît évident et nécessaire de profiter des associations telle Vélod’vie, et des usagers avant toute validation de schéma.
Outre la réduction de pollution, la pratique régulière de ce mode de déplacement est un gain pour l’usager ; à la fois sur son portefeuille et sur sa santé. Donc un impact pour la collectivité (les organismes sociaux) qui gagne aussi avec une population en meilleure santé.